La scène hardcore punk voit fleurir des collectifs et des groupes féministes déterminés à sortir la contre-culture de ses codes masculinistes.

Le Collectif féministe contre le viol aide des victimes de violences sexuelles via sa ligne d’écoute. Avec la détérioration de leurs locaux loués à la mairie de Paris, ces militantes travaillent difficilement, entre dégâts des eaux et nuisibles.

Une fête inclusive et safe, c’est le souhait d’artistes, de collectifs et d’établissements du milieu de la nuit. Les DJ Barbara Butch, Claude-Emmanuelle Gajan-Maull, Paloma Colombe et d’autres personnalités nous livrent des pistes d'amélioration.

Depuis la création de leur collectif en 2013, les femmes de l’aire d’accueil pour les gens du voyage de Hellemmes-Ronchin se battent contre l’usine de béton et la concasserie de gravats qui les empoisonnent.

Depuis le mois de novembre 2018, plusieurs centaines de sans-papiers se sont regroupés dans un collectif de Gilets noirs. Occupation du Panthéon, d’un aéroport ou d’une entreprise, ils mènent des opérations coups de poing pour être régularisés.

« Faites la vélorution! Ne jetez plus vos vélos, apprenez à les réparer. » Le slogan attire le chaland et des milliers de parisiens adhèrent aux associations. Revers de la médaille, l'esprit coopératif disparaît.

Débarquer dans un appart' à louer pour une teuf éclair et dénoncer les proprios qui abusent, un classique pour Jeudi Noir. StreetPress était arrivé au rendez-vous fixé à Belleville (Paris) avec sa perruque jaune, et tout devait bien se passer...