Pendant que Matthieu Pigasse appelle à faire barrage au RN et à soutenir le Front populaire, sa radio vient d’acter le transfert de sa régie publicitaire chez Lagardère... désormais intégrée à l’empire médiatique d’extrême droite de Vincent Bolloré.

Devant les sénateurs, le patron d’Altice s’emporte : « Je détiens la licorne la plus performante du marché. » Ce qu’il ne leur dit pas, c’est qu’il n’en veut plus depuis un bon moment…

Depuis le rachat du premier groupe de presse magazine de France, Prisma Media, par Bolloré, ses journaux télés font la pub d’Hanouna et des films de Canal+, Voici parle de la vie sentimentale de Zemmour et Capital ne fait plus d’enquête.

Quel est le point commun entre Red Bull, Havana, Adidas et Burger King ? Ils utilisent des rappeurs pour faire la promo de leurs produits.

Même si la clause votée mardi, interdisant les pubs sexistes, n’est pas contraignante, elle n’est pas que cosmétique ou symbolique. Et elle est aussi la preuve qu’une mobilisation citoyenne peut porter ses fruits.

Anne Hidalgo, en tant que maire de Paris et Valérie Pécresse, présidente de région peuvent et doivent, selon Héloïse Duché, interdire les pubs sexistes dans l’espace public à Paris et en Île-de-France. Une mesure concrète contre les discriminations.

Guillaume Denaiffe est un inconnu célèbre. Le barbu de 40 ans a joué dans une cinquantaine de pubs télé, jusqu'à la consécration : devenir le visage de la marque Peugeot. Désormais, il a même des haters.

Aujourd'hui, petites et grandes villes utilisent leur nom comme de véritables marques. Objectif : attirer les touristes et remplir les caisses. Ainsi, pour utiliser le célèbre « I Love NY », il faut verser des royalties à la municipalité.

Une ballade virtuelle dans le bâtiment des Magasins Généraux: voilà ce que propose « Graffiti Général » pour immortaliser ce « temple » du street art avant sa disparition. Un joli coup de com' de BETC qui va s'installer dans l'immeuble.