Néonazis, pour certains fichés par l’État, ils s'entraînent à la baston, tractent devant les fac et défilent dans les rues de Paris. Le Gud est de retour dans la capitale et veut le faire savoir.
Entre agressions et insultes, le quotidien des videurs de boîtes de nuit n'est pas facile. Les portiers des clubs de la capitale confient à StreetPress leur blues. Ils dénoncent aussi le manque de considération et de formation.
Quelques chaises en plastique, un ring installé pour l'occasion: les catcheurs costumés se succèdent sous les hourras des spectateurs. Malgré quelques approximations le public ne boude pas son plaisir face au spectacle de ces showmen du dimanche.
Difficile de comprendre le streetfighting autrement qu'en étant dedans. Du coup, un combattant expérimenté raconte sa baston la plus mémorable... Mais attention : « l'univers du streetfighting n'a rien à voir avec Fight Club »