Un mois avant le changement de régime, le groupe français a livré trois radars à Kaboul. StreetPress a enquêté sur ce contrat de 110 millions d’euros qui n’a pas été officiellement annulé et dont les talibans profitent pour monter une « fake news ».
Condamnés par les fondamentalistes, les lieux de prières soufis sont la cible privilégiée des Talibans. Poèmes, transes et mauvais génies: la minorité musulmane vit pourtant sa religion à fond.