Paranormal sorority, Raiders of the lost shark ou Chick Magnet. Voilà quelques-uns des nanars vus sur les étals du marché du film de Cannes. Le festival, c’est aussi le moment où les producteurs de film de 3e zone cherchent des acheteurs.

Pour StreetPress, Ariane a été tour à tour productrice d'un film indien, invitée au Baron par un ancien chanteur de flamenco et confidente d'une travestie, avec une seule obsession en tête : se faufiler dans les soirées cannoises.

Alors que le G20 ouvre officiellement ce jeudi, la nuit dernière a été consacrée à une réunion d'urgence sur la Grèce. La rédaction de StreetPress était (presque) aussi de la partie, avec des délégués qui causaient sans langue de bois.

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Le festival de Cannes c'est bien beau mais quand on n'est pas accrédité, qu'on n'a pas d'amis dans le ciné, ni cartons de soirées il faut trouver des solutions concrètes. Certaines sont infaillibles d'autres plus ambitieuses.