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1 Rue Mazet, le resto U le plus summertime
Quoi : Un jardin ombragé avec tables et chaises pour se poser au soleil un jour de printemps… Non vous ne rêvez pas, vous êtes bien au restaurant universitaire Mazet qui avec tous ces charmes est le n°1 du classement.
Calé ou pas : Ici les entrées, c’est double portion : tu peux remplir ton ramequin autant que tu veux. Petit hic au niveau du plat du jour : le poulet n’était pas vraiment chaud. Sinon, comme dans beaucoup de resto U, c’est pizza et frites steak/saucisse. Au pire, le quartier ne manque pas de Grecs.
La spécialité du chef : La pizza est succulente, la pâte fine et pas trop cuite, et les ingrédients bien dosés. Elle vous arrive chaude et dorée dans votre assiette, et c’est relativement dur de résister à la tentation d’y goûter avant d’avoir franchi la caisse.
Le spot pour digérer : Pas grand chose à côté, mais pas besoin de bouger : “Le resto U”:http://www.streetpress.com/tag/resto-u dispose d’un jardin avec tables et chaises. Idéal pour y manger dès que le soleil daigne sortir de sa cachette nuageuse. Par contre il faudra vous serrer, les tables ne sont pas bien grandes, mais ça fait tellement plaisir de manger dehors.
Côté logisitique : Eau, moutarde, ketchup, mayo : les 4 fantastiques sont dans la place. Par contre, à ne pas rater près de la caisse du fond, du café en open-bar. Et pour digérer, ça c’est top !
Message de service : Bien que le resto soit petit, quand il n’y a plus de places, il y en a encore. Il faut juste savoir ouvrir l’oeil et chercher dans les coins…
C’est où : 5 rue Mazet, métro Odéon
Note : 8,5/10
Là où c’est intéressant, c’est que vous n’avez pas forcément besoin d’être étudiant pour vous régaler au resto U. Joint par StreetPress, le staff de plusieurs resto U reconnait ne pas toujours vérifier les cartes étudiants des gourmets qui paient en liquide. Au pire vous pouvez toujours payer plein tarif, soit 6,45 euros.
2 Rue Mabillon, le resto U le plus rive gauche
Quoi : Récemment rénové, c’est le Crous de toutes vos envies, avec ses deux restaurants universitaires, plus sa cafèt, plus sa brasserie. Et puis pas moyen de le manquer avec sa parure boisée qui contraste avec le quartier. Tous ces atouts font de lui le premier ex-aequo.
Calé ou pas : Pas de soucis de ce côté là, on sort rassasié et on est même un peu déçu de pas pouvoir tester tout ce qu’on peut trouver. Il y en a pour toutes les envies et pour tous les ventres !
La spécialité du chef : Les plats du jour sont très corrects. On note que l’étudiant de Mabillon préfère les menus à base de légumes (carottes, courgettes) plutôt que l’éternelle frite (ne vous inquiétez pas il y en a quand même !). Ici on mange sain.
Le spot pour digérer : Pour ceux qui ont la foi, l’église Saint-Sulpice n’est qu’à quelques mètres du RU et pour les profanes on peut pousser jusqu’au Jardin du Luxembourg. Sinon le quartier est rempli de petits bistrots sympa mais où les prix le sont un peu moins.
Côté logisitique : On sent qu’ici on s’est donné les moyens. Les salles sont cosy, design et plein d’autres trucs en anglais. On est installé comme des chefs. Petit plus : même la caissière est sexy, on se sentirait presque privilégié.
Message de service : « Fais chaud là hein ! » : en hiver on doit être bien mais plus la température dehors monte plus celle de la salle fait de même. Alors pour les frileux ça passe mais pour tous les autres on étouffe un peu.
C’est où : 3 rue Mabillon, métro Saint-Gemain-des-Prés
Note : 8,5/10
Petit plus : même la caissière est sexy, on se sentirait presque privilégié
3 La « Halle aux farines », le resto U le plus openspace
Quoi : Le resto U porte bien son nom de « Crous de la Halle aux farines » ou presque. La farine a disparu mais la Halle est là. L’ensemble fait un peu grand hangar austère mais tout est pensé pour que l’étudiant s’y sente bien.
Calé ou pas : Mis à part la part de hachis parmentier du jour qui était monstrueuse, le reste est plus consensuel. Les quantités sont correctes sans être démentes. Un bon point pour la diversité : on va du menu équilibré à la saucisse-frite en passant par la pizza, chacun trouvera son compte.
La spécialité du chef : La pizza est une bonne surprise. Cuite sur place dans son four « traditionnel », on a eu le choix entre merguez et fromage. La qualité est au rendez-vous pour une pizza de resto U, une pâte fine et croustillante et des ingrédients honnêtes. Petit bémol : sa taille.
Le spot pour digérer : En face de Paris VII, le resto U jouxte une pelouse et un petit parc pour enfants qui pourra accueillir vos ventres distendus. Sinon vous pourrez aller faire un tour aux Frigos de Paris situés à une petite centaine de mètres du Crous. Mis à part ça on est au milieu du néo-13eme, rempli de grandes barres d’immeubles modernes, rien de très fun en somme.
Côté logisitique : Le Crous est ultra lumineux avec une énorme baie vitrée qui prend l’ensemble de la salle. Beaucoup d’espace avec ses grandes tablées rondes ou rectangulaires pour les classique. Mais attention le resto est vite blindé. Mention spéciale pour les sauces très nombreuses(au poivre, provençale,…) et gardées au chaud dans des marmitons.
Message de service : « Wesh, bien cousin ? » : on sent qu’avec un peu d’assiduité on peut facilement entrer dans la famille du Crous de Paris VII, avec un personnel qui met à l’aise.
C’est où : Rue Jean-Antoine de Baïf (collé à Paris VII), metro BNF
Note globale : 7,5/10
Le crous est ultra lumineux avec une énorme baie vitrée qui prend l’ensemble de la salle
4 A Jussieu, le resto U plus work in progress
Quoi : Vous aimez vous perdre ? Vous adorerez ce resto U. Pour y arriver, c’est un le parcours du combattant : il faut traverser toute la fac de Jussieu, en plein désamiantage, donc avec des travaux un peu partout. Et ici les panneaux ne sont pas dignes d’être érigés. C’est bien dommage…
Calé ou pas : Steak, pâtes, frites, on retrouve ici les grands classiques de resto U. Pas d’inquiétude : vous n’aurez pas besoin d’un McBaguette après le repas. Sinon il paraît qu’il y a des pizzas, mais alors venez tôt parce qu’à 13h, c’était déjà fermé.
La spécialité du chef : Rien que le colombo de porc vaut le détour : fondant, moelleux et pleins de saveurs. Si vous fermez les yeux (et les oreilles) vous aurez la sensation de ne plus être dans un Crous mais bien à une bonne table parisienne.
Le spot pour digérer : La fac de Jussieu est en plein travaux, donc c’est plutôt open-amiante si vous décidez d’y rester pour digérer. Mais pas loin les arènes de Lutèces et leurs gradins vous acceuilleront volontiers. Et en cas de très grosse faim, il y a un petit resto américain, « I love burger » à deux pas qui fait de succulents burgers à des prix très doux.
Côté logistique : Un petit bémol pour le temps d’attente : il n’y a qu’une seule caisse d’ouverte, et ça se ressent. Sinon, niveau sauce, il faudra se contenter des classiques Ketchup/Mayo/Moutarde. Mais pour trouver une place, même à l’heure de pointe, ce ne sera jamais problématique.
C’est où : 8bis rue Cuvier (dans la fac de Jussieu), métro Jussieu
Note : 7,3/10
Il faut traverser toute la fac de Jussieu, en plein désamiantage, donc avec des travaux un peu partout
5 A Boulogne, le resto U le plus à l’Ouest
Quoi : Le resto U de Boulogne se trouve à l’intérieur du bâtiment de la fac. Renfermé vous dites ? Certes mais c’est aussi bien pratique si vous étudiez là-bas.
Calé ou pas : Pizza, steak, saucisses, frites, en dehors des traditions croussiennes, le chef propose ici quelques variations comme le saumon en papillote, le plat-star très demandé du jour. Il faudra cependant vous hâter, car après 13h, c’est fini, vous mangerez les restes.
Spécialité du chef : Omelette et légumes, saumon, ici régime d’été et resto U sont compatibles. Mais en plus de ça, c’est vraiment pas mauvais. Tu finis volontiers ton assiette et hésites presque à en redemander.
Spot pour digérer : Dans le quartier c’est plutôt fleuri par du béton que par des coquelicots. Devant l’entrée du Crous, heureusement qu’il y a un gros squat bien ensoleillé. De quoi préparer le bronzage pour l’été. Sinon, le parc de St-Cloud n’est qu’à deux stations de métro.
Trucs et astuces : « Tu ne connais pas la technique du téléphone ? Tu fais genre que tu es au téléphone avec un pote qui est devant dans la queue, et tu passes direct, les gens n’osent pas t’arrêter ! J’ai un pote qui prend aussi le bus gratuitement comme ça » explique Julien, étudiant en première année de psychologie rencontré au self. Technique pas très fair-play, mais le midi, c’est bondé. A tester si vous êtes pressé.
C’est où : 71 avenue Edouard Vaillant, Boulogne-Billancourt, métro Marcel Sembat
Note : 7/10
Dans le quartier c’est plutôt fleuri par du béton que par des coquelicots
6 « Chatelêt », le resto U le plus quartier latin
Quoi : Comme son nom de l’indique pas, le resto U de Chatelêt n’est pas à côté des Halles, mais en plein 5eme arrondissement. Ambiance studieuse et Erasmus pour un Crous à quelques encablures de Normale Sup’ et de l’ESPCI, l’école d’ingénieur en physique-chimie.
Calé ou pas : Ici on est là pour manger, il n y a pas de doute. Les parts sont gargantuesques. De l’entrée au dessert, on est richement servi. Vous tiendrez facilement jusqu’au dîner. On n’a même pas réussi à finir…
La spécialité du chef : Du grand classique, frites, pizza, steak et plat du jour. Mais aussi un menu de type de breakfast anglais avec beans et saucisses pour un dépaysement garanti ! Les cuistos jouent sur la dose, il sont malins !
Le spot pour digérer : Le quartier est plutôt sympa, vous pourrez vous poser dans un petit parc à la sortie du resto ou même faire un coucou à l’ESPCI pour en découvrir plus sur la supra-conductivité. On vous avait dit, ici c’est le corps et l’esprit.
Côté logistique : Le resto U est plutôt bien foutu et n’a l’air jamais vraiment blindé. De l’espace pour se déplacer et pour manger. Et puis il y a ce qu’il faut en sauces et fontaine. La vue est aussi très sympa sur un parc voisin. Mais attention pas de bêtises, le commissariat du coin est juste en face.
Message de service : « NÄ häo ! », on vous l’a dit, ici c’est le RU international. Si vous comptez faire le tour du monde en couchsurfing prochainement, c’est là qu’il faut venir choper les bonnes adresses !
C’est où : 10 rue Jean Calvin, metro Censieur-Daubenton
Note globale : 7/10
« NÄ häo ! », on vous l’a dit, ici c’est le RU international
7 A Port-Royal, le resto U le plus all-inclusive
Quoi : A première vue le bâtiment paraît immense, et ce n’est d’ailleurs pas qu’une impression. Non content d’accueillir trois restaurants universitaires, vous y trouverez aussi un gymnase, des résidences et le centre administratif du Crous.
Calé ou pas : Loin de se faire un gros gueuleton, c’est plutôt le resto où aller pour finir le petit déj’ quand le réveil fût tardif. Donc à réserver aux petites et moyennes faims, mais pas pour celles et ceux qui sont au régime.
La spécialité du chef : La pizza est pas mal, mais rien d’exceptionnel. Par contre vous pouvez la prendre à emporter. Sinon il y a le choix : trois restaurants sont à votre disposition, dont autant de menus différents.
Le spot pour digérer : Le jardin de l’observatoire, sur un banc à l’ombre des marroniers ou sur la pelouse près de la fontaine, quand il y a encore de la place. Il y a aussi le jardin du Luxembourg à peine plus loin, où vous trouverez même des chaises pour bien digérer.
Côté logistique : Rien d’extra niveau sauces: toujours les classiques. Pour trouver une place, c’est un peu galère aux heures de pointes, mais sinon c’est finger in the nose.
C’est où : 39 Avenue Georges Bernanos, RER B Port Royal
Note globale : 6,9/10
Non content d’accueillir trois restaurants universitaires, vous y trouverez aussi un gymnase, des résidences et le centre administratif du Crous.
8 Citeaux, le resto U le plus art-déco
Quoi : Si vous vous dites que manger en sous-sol ça ne doit pas être sympa, le resto U de Citeaux vous convaincra du contraire. Une hauteur sur plafond immense qui donne sur un puits de lumière. La nuit c’est sûrement glauque, le jour ça le fait.
Calé ou pas : En sortant du resto U, le kebab situé à quelques mètres nous laisse de marbre. Le repas concocté par le Crous est très honnête, et la qualité est au rendez-vous. Pour peu qu’on sorte de l’éternel steak-frites.
La spécialité du chef : Le sauté de porc a eu notre aval. Si le reste est du même acabit, alors on peut y aller les yeux fermés. Le choix est d’ailleurs maousse.
Le spot pour digérer : Point noir du Crous de Citeaux, pas de petits coins sympa à l’horizon sauf si vous aimez les quais de la Gare de Lyon. Plusieurs cafés sont quand même là pour assurer le SAV.
Côté logistique : Pas de folie mais le cadre du resto est très sympa. On se retrouve dans une ancienne halle art-déco réhabilitée. Donc beaucoup d’espace et de lumière. Mais les places ne manquent pas.
Message de service : « Vous en voulez plus? » Ici même pas besoin de demander, on vous propose directement un petit supplément dans votre assiette, alors « oui, avec plaisir ! »
C’est où :: 45 boulevard Diderot, metro Gare de Lyon
Note globale :: 6,5/10
Si vous vous dites que manger en sous-sol ça doit pas être sympa, le resto U de Citeaux vous convaincra du contraire
9 Censier, le resto U le plus vintage
Quoi : Quand on arrive au RU de Censier, on a l’impression d’avoir pris la Delorean du Doc pour un retour en 1976. Giscard est au pouvoir et les décorateurs d’intérieurs craquent sur des matériaux ultra-moderne. Aujourd’hui ? Bah c’est ringard.
Calé ou pas : Les portions sont très correctes, voir généreuses. Le « coin aux épices » vous propose un très bon couscous. Classique mais très efficace pour les étudiants affamés.
La spécialité du chef : Le kebab, qui rencontre un vrai succès est servi dans son assiette avec salade et frites mais peut aussi être consommé dans son pain « traditionnel ». Pour autant la viande fait se poser beaucoup de questions sur son origine…
Le spot de pour digérer : Le Crous de Censier peut se vanter d’avoir un cadre avantageux. A deux pas du Jardin des Plantes et de la Grande Mosquée, vous aurez le choix entre un thé à la menthe ou l’ombre d’un chêne centenaire. Tout proche de la rue Mouffetard, les cafés ne manquent pour abreuver les soiffards.
Côté logisitique : Les locaux sont un peu ghetto et on est rapidement serré sur les tables. Mais si on ne vient pas à six, il y a toujours une petite place à trouver. Pour accéder à la salle, il ne faut pas avoir peur des marches. Elles vous ouvriront, à n’en pas douter, l’appétit.
Message de service : « Normalement c’est plus cher avec ce que tu as pris, mais je te le fais normal » : le caissier sympa n’hésite pas à faire des rabais si on a craqué pour un yaourt supplémentaire.
C’est où : 31 rue Geoffroy Saint-Hilaire, métro Censier-Daubenton
Note globale : 6/10
Le kebab, qui rencontre un vrai succès est servi dans son assiette avec salade et frites
10 Rabelais, le resto U le plus ghetto
Quoi : Quand tu commences à rouler ta bosse dans les RU, tu te dis qu’ils sont tous pareils, et puis tu tombes sur celui de Rabelais. Ici on sent que la municipalité n’accorde peut-être pas le budget nécessaire au bien-être des étudiants. N’espère pas te faire plaisir, tu es là pour manger, si possible…
Calé ou pas : Pas d’extravagance dans les portions proposées mais là où ça fait mal c’est à propos de la qualité. Peut-être que nous sommes tombés sur un mauvais jour mais le travers de porcs ressemblait à un os pour chien et notre part de saumon était composée à 95% d’arêtes. Dommage car les menus proposés sont équilibrés.
La spécialité du chef : Malheureusement on aura tendance à se tourner vers le stand « express » qui propose de la saucisse-frite et de la spaghetti bolo pour éviter d’avoir de mauvaises surprises. Quand le KFC de la Porte de Clignancourt pointe le bout de son nez à travers les fenêtres du RU, on se dit qu’on a peut-être fait une erreur…
Le spot de pour digérer : Le périph’ ? Ici si tu n’as rien à faire, tu retournes vite fait en cours.
Côté logisitique : Évitez l’intervalle hardcore 12h-12h30 où la file d’attente s’étend à n’en plus finir. Et quand on arrive à trouver une place, on n’est jamais vraiment bien installé. On nous avait promis un espace cafétéria, il paraît fermé depuis un bail. Sinon une fontaine et peu de choix de sauce : le strict minimum.
C’est où : 2 avenue de la Porte de Clignancourt, metro porte de Clignancourt
Note globale : 4/10
Le travers de porcs ressemblait à un os pour chien et notre part de saumon était composée à 95% d’arêtes
En bonus – Cité Internationale Universitaire de Paris, le plus polyglotte
Quoi : Une réplique miniature du château de Fontainebleau construite dans les années 30 grâce à la famille Rockfeller. RU, théâtre, services centraux pour étudiants étrangers, vous êtes au cœur du seul campus parisien à l’américaine.
Calé ou pas : Plats variés, portions larges. Entre poule-au-pot façon Henri IV, demi-lune bolognaise… ou poisson pané citron, que choisir ! On approche du top de la gastronomie collective française, mais mieux vaut opter pour la formule supérieure. Sinon, le chef propose aussi des formules snack pour les budgets serrés. De toute façon, pas de choix, grand parc arboré et désert commercial alentour.
La spécialité du chef : Les repas thématiques vous font redécouvrir les cuisines du monde entier. Mince, la disposition des stands n’est pas évidente à saisir pour les non-habitués, je viens de manquer le colombo de poulet et j’ai la flemme de revenir en arrière. La file s’est bien allongée.
Le spot pour digérer : La terrasse plein Sud donnant sur le parc de la cité U est le plan idéal pour poursuivre les échanges nées à table dès le printemps venu. Ou peut-être préférerez-vous suivre des joggeurs pour éliminer l’éclair au chocolat qui a atterri on ne sait comment sur votre plateau. On découvre alors les 40 maisons étudiantes et leurs architectures typiques.
Côté logistique : A l’heure de pointe, l’attente peut se faire longue. Cela laisse le temps de choisir entre les formules. Pour les pressés, préférez la cafétéria.
Message de service: Hello, salam, né yibeogo (mooré). Si vous voulez apprendre une langue étrangère, vous êtes à la bonne adresse. 130 nationalités et 5.000 étudiants s’y côtoient en permanence.
C’est où : 17 bd Jourdan, RER B arrêt Cité Universitaire
Note : 8/10
bqhidden. On approche du top de la gastronomie collective française
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