Un mois avant le changement de régime, le groupe français a livré trois radars à Kaboul. StreetPress a enquêté sur ce contrat de 110 millions d’euros qui n’a pas été officiellement annulé et dont les talibans profitent pour monter une « fake news ».
La petite phrase de Nicolas Sarkozy le 21 mai sur le maintien « pour toujours » de l'armée française en Côte-d'Ivoire a rapidement disparu des débats au profit du maintien des indicateurs de radars. Un problème d'équilibre ?