Octobre, la police déboule chez les Saounera pour interpeller l'un des fils. Coups, insultes, lacrymo : la situation dégénère. Vendredi, le père et le fils de la famille étaient lourdement condamnés pour les débordements. Mais pas la police.
Sur Streetpress, Vincent Voillequin, du lycée Adolphe Chérioux dénonce « le manque de surveillants » dans son établissement. Montrant du doigt le rectorat de Créteil, il affirme que rien ne bouge.