En ce moment

    14/04/2014

    Où faire la fête en Europe sans croiser ton voisin ?

    Budapest - le Berlin des 90's

    Par Côme Bastin

    On nous rabâche les oreilles avec Berlin et Barcelone, mais savais tu qu'à Skopje il y a des pures clubs de rock indé ? Ou que c'est à Glasgow qu'on trouve les meilleurs afters électros ?

    Pourquoi c’est cool ? : Si les façades soviétiques feraient passer Clermont Ferrand pour une ville pittoresque, une fois passé les portes c’est un autre monde. Ici, les bars et boites peuvent se payer le luxe de squatter des immeubles entiers, appelés « Kerts ». C’est aussi la capitale Européenne des bains thermaux : certains soirs, vous pourrez danser et boire dans une piscine du XIXe siècle. Sans parler des deux festivals géants que sont le Sziget et l’Ozora…

    Cours de la pinte : 1,50 euros.

    Vincent y était : « Trois bars, deux kerts, et deux boites dans la même soirée : c’est à Budapest que j’ai battu mon marathon de la nuit ! »

    Les 3 hot spots :

    1 Szimpla Kert :C’est un des premiers Kerts à avoir ouvert et c’est resté la référence en la matière. Dans un décor de récup joyeusement bordélique – on peut boire des coups dans des carcasses de Logan – et sur deux niveaux, le Szimpla rassemble touristes et jeunes alternatifs de la capitale.

    2 Corvintetö : Il vous faudra grimper plusieurs étages pour accéder à cette boite de nuit destroy installée sur le toit d’un l’immeuble. Une fois en haut, vous n’aurez plus qu’à danser en plein air jusqu’au petit matin sur des sons techno/dubstep, en profitant de la vue.

    3 Morisson’s 2 : C’est le rendez-vous de tout Budapest en début de soirée. Dans un immeuble somptueux et sur trois étages, l’endroit dispose de plusieurs bars, d’une salle de billard, et d’une boite de nuit. Jusqu’à 22h, tous les cocktails sont à 2 euros. Et ils sont très chargés.

    Le saviez-vous ? Budapest est en fait la réunion de deux villes. A « Pest » l’industrieuse, on fait la fête dans de vieux immeubles encore destroy. À « Buda » la verte, on chill dans les plus beaux bains chaud du Vieux-continent.

    Cet article est en accès libre, pour toutes et tous.

    Mais sans les dons de ses lecteurs, StreetPress devra s’arrêter.

    Je fais un don à partir de 1€
    Sans vos dons, nous mourrons.

    Si vous voulez que StreetPress soit encore là l’an prochain, nous avons besoin de votre soutien.

    Nous avons, en presque 15 ans, démontré notre utilité. StreetPress se bat pour construire un monde un peu plus juste. Nos articles ont de l’impact. Vous êtes des centaines de milliers à suivre chaque mois notre travail et à partager nos valeurs.

    Aujourd’hui nous avons vraiment besoin de vous. Si vous n’êtes pas 6.000 à nous faire un don mensuel ou annuel, nous ne pourrons pas continuer.

    Chaque don à partir de 1€ donne droit à une réduction fiscale de 66%. Vous pouvez stopper votre don à tout moment.

    Je donne

    NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
    ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER