À peine un étudiant sur 17 obtient une place en Cité U. Et ceux qui décrochent une place doivent composer avec les fuites d’eau, les cafards et autres nuisibles. Enquête sur un service public en manque chronique de moyens.
Certains restaurants universitaires ont fermé, d’autres ont été remplacés par des cafet’ privées. Dans d’autres endroits, il n’y en a tout simplement jamais eu. Il y a aussi ceux qui augmentent leur prix. Les restos U vont-ils mourir ?