Depuis la crise sanitaire, l’enseignement en détention est bouleversé. Jauges réduites, cours à distance ou annulés… À l’approche des examens, la situation semble critique.
Avec des collègues, Marie Bassi a créé un programme intensif d’apprentissage du français à destination des demandeurs d’asile et des réfugiés. Chaque jour, à Paris 3, ils sont 20 à bosser la grammaire ou la poésie. Ils rêvent d'intégrer la fac.