« J’ai vécu une sexualité traditionnelle pendant 25 ans. Je trouvais ça ennuyeux. J’avais envie de marques sur mon corps », explique Barbara. Maso, uro, adepte du fist-fucking ou de la sodomie, plusieurs soumises racontent leurs quêtes de la jouissance.
« Au début Démonia, c’était un minitel de chat SM », se souvient Miguel. Depuis sa petite entreprise a bien grandi jusqu’à devenir le magasin phare des fans de BDSM. Deux fois par an, l’équipe organise même une teuf… où tout est permis.
Le shibari, c’est l’art japonais de s’attacher pour le kif. Il y a ceux qui se suspendent au plafond de leur cuisine et ceux qui vont à la Place des Cordes. StreetPress est entré dans l’intimité de ces accros des nœuds.