En ce moment

    06/02/2010

    Photos : Amy Macdonald à la Cigale

    Par Michela _Cuccagna

    Report photo du concert d'Amy Macdonald à la Cigale (Paris), mercredi 3 février. Une série de clichés signés Michela Cuccagna pour StreetPress

    Les photos du concert

    A star is born

    Amy Macdonald, seulement 22 ans et déjà une carrière qui commence très fort.
    Le concert de mercredi à la Cigale affichait complet. Des mamans avec leurs filles, des hommes de tous âges s’affolaient dans la salle pour accueillir leur star. Partie sur des chapeaux de roue, déjà 3 millions de copies vendus, la jeune fille n’a pas l’air de vouloir se contenter de son premier carton.

    Premier “amour”: Travis

    Un nouvel album est déjà en chantier. Elle a toujours eu les idées très claires. C’est une série de passions simultanées qui l’ont toujours poussée à agir vite : A 12 ans, elle achète “The Man Who” du groupe Travis (originaire aussi de sa ville natale, Glasgow). Elle en est éprise à tel point qu’elle emprunte la guitare de son père (qu’elle n’avait jamais touchée) et commence à écrire ses premières chansons, avec entre autres un texte sur l’amour désespéré de sa sœur pour l’acteur écossais Ewan Mcgregor (Trainspotting).

    Quel lien entre Amy M et Amy W? le talent

    Amy Macdonald a quitté l’école à 16 ans. Depuis, elle se livre entièrement à la musique. Le premier hit de la belle Amy, “This is life” naîtra après un concert de Pete Doherty, inspiré par ce dernier. Suite à ça, débuteront les tournées, de l’Angleterre à une partie de l’Europe.
    Et l’amour dans tout ça? Voilà qu’en 2008, elle devient la fiancée du footballeur Steve Lovell, joueur en D2 Ecossaise. Son deuxième album “A curious thing” est imminent, sortie prévue en mars 2010 et on attend avec impatience d’écouter encore et encore sa belle voix, riche et profonde, capable de transformer des thèmes et chansons ordinaires en merveilleuse ballades écrites, semble-t-il, par une femme enfant.

    Sources: Michela Cuccagna / StreetPress

    Cet article est en accès libre, pour toutes et tous.

    Mais sans les dons de ses lecteurs, StreetPress devra s’arrêter.

    Je fais un don à partir de 1€
    Sans vos dons, nous mourrons.

    Si vous voulez que StreetPress soit encore là l’an prochain, nous avons besoin de votre soutien.

    Nous avons, en presque 15 ans, démontré notre utilité. StreetPress se bat pour construire un monde un peu plus juste. Nos articles ont de l’impact. Vous êtes des centaines de milliers à suivre chaque mois notre travail et à partager nos valeurs.

    Aujourd’hui nous avons vraiment besoin de vous. Si vous n’êtes pas 6.000 à nous faire un don mensuel ou annuel, nous ne pourrons pas continuer.

    Chaque don à partir de 1€ donne droit à une réduction fiscale de 66%. Vous pouvez stopper votre don à tout moment.

    Je donne

    NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
    ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER