Est-il normal que des rues et boulevards parisiens portent les noms d'esclavagistes ou généraux ayant tenu des propos racistes ? C’est la question que se posent Didier Epsztajn et Patrick Silberstein dans leur Guide du Paris colonial et des banlieues.
Sur StreetPress, l'équipe du maire de Skopje a la banane : « Aujourd'hui nous avons même des touristes japonais. » En 4 ans, la ville a été bouleversée à coup d'édifices bling-bling. Un moyen d'exalter l'identité nationale.