Chaque week-end, Ibrahim vient au marché des biffins pour écouler sa marchandise glanée dans les poubelles de l’Ouest parisien. Un business aléatoire : si les bons mois il empoche jusqu’à 500 euros, « certains jours, je gagne à peine 50 centimes ».
Ils vendent des objets de récup' sur les trottoirs du Nord-Est parisien quand ils ne se font pas dégager par la police. Lundi devant la mairie de Paris, « les biffins » demandaient à être reconnus comme profession.