L’influenceur aux deux millions d’abonnés sur YouTube s’est fait connaître pour ses interviews et révélations sur les candidats de télé-réalité. Depuis quelques mois, de Sébastien Delogu à Manon Aubry, des députés se bousculent sur son canap’.

En mai dernier, l’ancienne belle-soeur d’André Lorieu, patron du Crédit Mutuel Océan, a témoigné dans un journal vendéen de la plainte pour viol qu’elle lui avait intentée il y a vingt ans, prescrite. Le banquier l’attaque pour diffamation.

Le Collectif féministe contre le viol aide des victimes de violences sexuelles via sa ligne d’écoute. Avec la détérioration de leurs locaux loués à la mairie de Paris, ces militantes travaillent difficilement, entre dégâts des eaux et nuisibles.

Après beaucoup d’échanges avec nos lectrices et lecteurs, on souhaite rendre StreetPress plus participatif et ouvert ! On voudrait créer un club des lectrices et lecteurs de StreetPress. Pour nous aider à y parvenir, répondez à ce petit questionnaire.

Entre 2021 et 2023, Célia, Léa, Loubna et Maria ont successivement porté plainte contre le rappeur Jorrdee – trois pour violences sur conjoint, une pour harcèlement et dégradation. Il a plaidé coupable.

Depuis 2009, l’ex-policier gradé Jean-Christophe M. est visé par quatre plaintes pour agression sexuelle. Il a été sanctionné par sa hiérarchie 15 jours avant sa retraite, en 2021. Son procès en appel s’est tenu le 23 septembre 2024, à Poitiers.

En France, seules 2% des victimes de violences sexuelles portent plainte. Quand elles le font, c’est un véritable parcours du combattant. Arrivées jusqu’au procès, les questions et remarques sexistes traumatisent de nouveau certaines victimes.

Le 10 juillet 2024, à Paris, sept Nigérians ont été condamnés pour proxénétisme aggravé en bande organisée et traite d’êtres humains. Pendant six ans, Precious a connu l’enfer. Elle raconte la prostitution à Château Rouge et ses neuf avortements forcés.

Naïma, Mia, Dounia et Sofia ont eu le courage de fuir un foyer violent, avant d’être confrontées à la précarité et à la rue dans la région lilloise.

Dans Vivre pour les caméras, Constance Vilanova explique comment les émissions comme Les Marseillais exploitent des jeunes femmes issues des classes populaires ou qui ont été victimes de VSS pour créer de la « séquence ». Interview.