Sur StreetPress, Nuruddin Farah critique l'image que donnent de son pays les médias étrangers. Celui que Salman Rushdie qualifie de « plus fin romancier africain » veut contrebalancer ce poids dans son dernier roman Exils.
Cette semaine, StreetPress a lu Exils de Nuruddin Farah, un livre assez déprimant sur la guerre civile en Somalie. Si toi aussi tu veux savoir pourquoi à Mogadiscio des enfants s'amusent à tirer sur des passants, c'est par ici.