Clothilde, Léa, Frédérique, Corentin ont entre 16 et 60 ans. Comme plus de 120 personnes qui ont répondu à notre enquête, ils ont été victimes de violences sexistes et sexuelles après s’être inscrits sur des applications de rencontres.
« J’ai dormi à un mètre d’une flaque de ma propre pisse. » Émilie a passé une nuit cauchemardesque au commissariat de Montrouge. Elle voulait porter plainte contre son date Tinder qui l’a agressée. C’est pourtant elle que la police a enfermée.