Le 6 juillet 2019, des militants d’extrême droite attaquent violemment le Hopopop, un bar nantais. Ils frappent sans discernement des clients à coups de matraque sur le crâne, gaz lacrymogène et gants coqués. Ils comparaissent ce 18 décembre 2024.

Depuis la violente agression d'un étudiant par des nationalistes en 2012, les antifas toulousains sont sur le qui-vive contre l'extrême droite. Leurs méthodes: des contre-manifs, de la veille et un service d'ordre présent sur tous les fronts.

Les Jeunesses Nationalistes avaient prévu pour samedi un «hommage au Duc Eudes qui a protégé la nation des invasions sarrasines». Les antifas organisent une contre-manif. Ils envisagent même d'aller au clash, si le défilé facho n'est pas interdit.

La fine-fleur de l'extrême droite pétainiste et antisémite devait se retrouver samedi à Lyon. Pas de bol, la salle qui devait accueillir le meeting a été incendiée.

De Saint-Germain-des-Prés au Panthéon, les nationalistes-révolutionnaires de Troisième Voie attendent un demi-millier de manifestants. Les manifestations de groupes radicaux se multiplient, illustration de la concurrence à laquelle ils se livrent.