« Crypto-fasciste », « populiste », « bisounours »… A Nuit Debout, les accusations fleurissent entre activistes. Mais derrière la guéguerre des mots se cache un désaccord de fond sur la ligne politique du mouvement.
A 31 piges, Benjamin Ball a un CV militant bien rempli: le No Sarkozy Day et les Indignés à la française, c'était déjà lui. Son objectif à l'approche de la COP21: « former une nouvelle génération de militants ». Mais à gauche, il n'a pas que des copains.