Sur StreetPress, Quentin et Émile du groupe Minitel Rose expliquent comment ils sont passés de la clarinette aux synthétiseurs. Même s'ils n'écoutent pas d'électro leur inconscient a été façonné pour: la faute aux années 1980.
De belles jeunes pousses artistiques, un beau soleil… Mais peu de public pour apprécier la « fête de l'art contemporain dans nos quartiers » organisée le week-end dernier dans le 19e arrondissement.