1. Le plus mignon
Prénom: Matthieu
Âge: 16 ans
Personnage: Sora du jeu Kingdom Hearts
Ce qui a coûté le plus cher dans son costume: La clé ! 200 € (avec les frais de port)
Matthieu/Sora
2. La plus gore
Prénom: Marion
Âge: 19 ans
Personnage: Lady Medusa Kronen accompagnée de son créateur, la sanglante doctoresse Telenn Nuren. Personnage inspiré du film Freaks de Todd Browning. Création personnelle.
Ce qui a coûté le plus cher dans son costume? Rien, c’est de la récup ! Juste de l’huile de coude.
Marion/la femme à barbe
3. Le plus smart
Prénom: Emmanuel
Âge: 19 ans
Personnage: Ciel Phantomhive du manga Black Buttler
Ce qui a coûté le plus cher dans son costume? Les boutons du costume. 100 € pour tout le costume.
Emmanuel/Ciel Phantomehive
4. Le plus Vador
Prénom: « Mon vrai nom ou mon pseudo ?… Yann. »
Âge: 24 ans
Personnage: Vlad Tepes (brrr) méchant sith inspiré de l’épisode de Star Wars « Old Republic »
Ce qui a coûté le plus cher dans son costume? La résine de carrossier pour faire le masque et les plaques. 100 € pour le tout
Yann/Vlad Tepes
5. Les plus strange
Croisées devant le stand Highlander, ravies d’avoir obtenu un autographe de Duncan Mac Leod aka Adrian Paul.
Prénom de la fille: Sudako – âge : 19 ans
Prénom de la mère: Tara – âge : non communiqué…
Personnage de la mère: Cyberpunkmania (?)
Personnage de la fille: Lolitawai avec un kimono traditionnel
Ce qui a coûté le plus cher? Les chaussures traditionnelles : 120 €
Sudako/Lolitawai
En Bonus: Le plus bof-bof
Prénom: François
Âge: 19 ans
Personnage: ben un guerrier quoi !
Ce qui a coûté le plus cher dans son costume? La lance : 200 €
Le Comic Con – Bio Express
Le Comic Con de Paris – contraction de Comics Convention – est la grande messe de tous les amateurs de science-fiction et de fantastique en France. Inspiré par le Comic Con de San Diego, où 12.000 geeks de super-héros se retrouvent chaque année pour discuter des dernières nouveautés, le Comic Con de Paris a l’ambition de réunir les fans de séries TV, de jeux vidéos, de mangas et de comics francophones. Au programme de l’édition 2010 qui se tenait du 1er au 4 juillet: une séance de dédicace d’Adrian Paul (le Highlander de la série TV), la diffusion de la première saison de V sur écran géant et des conférences pour mieux dessiner ses comics. Sans oublier bien sur nos amis les ‘cosplayers’ venus pour impressionner la galerie.
Pour un bon cosplay, les conseils de Manga Dori, la mecque du cosplay parisien.
Entre un portique de vêtements gothiques et des jupettes colorées, le vendeur de Manga Dori répond aux questions de Sophia Mazouz.
Qu’est-ce qui fait un bon cosplay ?
Pour être un bon cosplay, il faut se rapprocher au plus de son personnage. On pioche des accessoires par-ci par-là. Normalement, un vrai cosplayer fait lui-même son costume, mais il peut le customiser en ajoutant des pièces achetées.
Existent-ils des catégories différentes de cosplayers ?
Il y a ceux qui se préparent aux conventions toute l’année et ceux qui font ça ponctuellement, comme un jeu. Il y en a qui poussent la pratique jusqu’à se teindre ou se couper les cheveux, au lieu d’utiliser des perruques. Pour certains, ça reste un délire, par exemple, un mec un peu costaud qui va se déguiser en princesse Daisy.
Comment se prépare-t-on au quotidien pour une manifestation ?
Ceux qui pratiquent intensivement le cosplay, se tiennent au courant toute l’année sur des forums, ils partagent bons plans, techniques de couture, bonnes adresses…
Une anecdote ?
Des cosplayers de Final Fantasy XIII participaient à une représentation et sur scène, le cosplayer du héros a demandé en mariage celle qui jouait l’héroïne. Tout le monde a été très surpris et vraiment ému.
Le cosplay – Bio Express
Le mot cosplay est né de la contraction des mots costumes et playing. Il désigne la pratique consistant à joueur le rôle de ses personnages de fiction préférés. Au départ réservé à l’animation japonaise – mangas, jeux vidéos – la pratique s’est élargie à tous les styles des séries TV aux comics.
Source: Noémie Toledano, Benjamin Gans, Sophia Mazouz | StreetPress
Crédit photo: Noémie Toledano
Cet article est en accès libre, pour toutes et tous.
Mais sans les dons de ses lecteurs, StreetPress devra s’arrêter.
Je fais un don à partir de 1€Si vous voulez que StreetPress soit encore là l’an prochain, nous avons besoin de votre soutien.
Nous avons, en presque 15 ans, démontré notre utilité. StreetPress se bat pour construire un monde un peu plus juste. Nos articles ont de l’impact. Vous êtes des centaines de milliers à suivre chaque mois notre travail et à partager nos valeurs.
Aujourd’hui nous avons vraiment besoin de vous. Si vous n’êtes pas 6.000 à nous faire un don mensuel ou annuel, nous ne pourrons pas continuer.
Chaque don à partir de 1€ donne droit à une réduction fiscale de 66%. Vous pouvez stopper votre don à tout moment.
Je donne
NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER