Les matches du Stade toulousain au Barricou
Le mot du patron : « Les supporteurs de toutes les équipes peuvent venir. Mélanger les supporteurs de différents clubs, c’est marrant. On aime bien charrié les Parisiens. Mais ça reste bon enfant. On met le son dès qu’il y a match. On fait les choses à fond » explique Michel Gineston, 41 ans, membre de l’association des « Toulousains de Paris » et lui-même joueur de rugby chez les vétérans
Pourquoi on s’y sent comme à Toulouse: l’accent du patron ne laisse aucune place au doute. Tous les matches de rugby sont diffusés sur trois grands écrans et le décor est aux couleurs du Stade toulousain. Et bien sûr, « c’est la fête quand Toulouse est champion », conclut le patron du bar.
Le people : On peut y croiser des stars toulousaines du ballon ovale, comme Yannick Jauzion, Vincent Clerc, ou encore Christian Labit.
Le truc à ne pas faire : Manquer de respect. « On ne respecte plus les buteurs comme avant. Avant tout le monde faisait silence quand une pénalité était tapée », regrette Michel Gineston.
L’adresse : 1, boulevard du Temple – 75003 Paris
On ne respecte plus les buteurs comme avant.
Surfez comme à Lacanau à la piscine à vagues d’Etampes
Le mot de la patronne : « La vingtaine d’habitués attend nos soirées surf chaque année avec impatience. L’ambiance est vraiment sympa, on met un playlist surf avec les Beach Boys et il y a du public qui peut venir », s’emballe la directrice de la base de loisir d’Etampes (91), qui, elle, ne surfe pas. Cette saison, 3 soirées surf auront lieu les 13 et 27 juillet et le 10 aout de 19h30 à 21h. Prix pour le public : 10 euros.
Pourquoi on se sent comme à Lacanau : Les vagues font… 1m10 ! Et 1m10 c’est « un swell (un mot pour désigner la houle, ndlr) largement suffisant » comme l’explique Nicolas, surfeur de niveau intermédiaire, qui passe ses étés dans le Landes. « Il ne faut pas croire mais à Biarritz, la moyenne des vagues c’est entre 70 cm et 1m50. Des vagues de 2 mètres c’est rare. » Nicolas de s’enthousiasmer pour les piscines à vagues : « C’est idéal pour les short boards, les petites planches. Les vagues sont agressives et ce sont des jolis tubes. »
Le people : Si Kelly Slater, superstar mondiale du surf, est venu à la piscine à vagues d’Etampes, sa directrice ne l’aurait pas reconnu. « Franchement, c’est impossible pour moi de vous donner le nom d’un surfeur ! » Alors on se plait à imaginer que le natif de Cocoa Beach passe ses étés dans l’Essonne.
Le truc à ne pas dire : « Surfer avec un casque sur la tête, c’est vraiment ringard ! » Car oui, à la piscine d’Etampes, il faut mettre un casque pour les sessions surf. « Les rebords de la piscine peuvent faire des dégâts alors le casque est obligatoire », insiste la directrice. Préparez-vous à faire un trait sur votre sex-appeal.
L’adresse : 5, avenue Charles de Gaulle à Etampes
Bienvenue à Etampes
Les rebords de la piscine peuvent faire des dégâts alors le casque est obligatoire
Et aussi :
> “Pour draguer des basques”:http://www.streetpress.com/news/84646-daguer-la-maison-basque-93
> “Pour acheter la presse locale”:http://www.streetpress.com/news/84647-pour-acheter-sud-ouest-le-relay-de-la-gare-montparnasse-14e
> “Pour savourer un brunch avec gâteau basque et jambon de Bayonne”:http://www.streetpress.com/news/84649-brunch-sud-ouest-au-french-flair-17e
> “Pour jouer à la pelote basque”:http://www.streetpress.com/news/84650-pour-jouer-a-la-pelote-basque-le-trinquet-16e
> “Pour prendre des cours de gascon”:http://www.streetpress.com/news/84651-pour-prendre-des-cours-de-gascon-la-maison-d-aquitaine-1er
> “En bonus : un petit détour par Marseille”:http://www.streetpress.com/news/84652-pastis-et-petanque-au-barourcq-19e
Map Passez la souris sur la carte et cliquez
Cet article est en accès libre, pour toutes et tous.
Mais sans les dons de ses lecteurs, StreetPress devra s’arrêter.
Je fais un don à partir de 1€Si vous voulez que StreetPress soit encore là l’an prochain, nous avons besoin de votre soutien.
Nous avons, en presque 15 ans, démontré notre utilité. StreetPress se bat pour construire un monde un peu plus juste. Nos articles ont de l’impact. Vous êtes des centaines de milliers à suivre chaque mois notre travail et à partager nos valeurs.
Aujourd’hui nous avons vraiment besoin de vous. Si vous n’êtes pas 6.000 à nous faire un don mensuel ou annuel, nous ne pourrons pas continuer.
Chaque don à partir de 1€ donne droit à une réduction fiscale de 66%. Vous pouvez stopper votre don à tout moment.
Je donne
NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER