G.I Joe : Conspiration – Jouets et bons films vendus séparément
Le pitch : Une équipe de soldat d’élite, les G.I Joe s’est fait trahir par son propre gouvernement ; lui-même infiltré par des super-méchants.
Le réalisateur : John Chu, un spécialiste des navets à gros budget comme Sexy Dance 3 ou Never Say Never avec et sur Justin Bieber. Après un premier G.I Joe, avec des acteurs pas terribles terribles, mais des recettes aux box offices plutôt intéressantes, on retente l’opération. Ce coup-ci on prend des acteurs plus bankables que des comédiens comme Saïd Taghmaoui, et on met un peu plus d’argent, histoire de rendre cette théorie du complot plus palpitante. Bref, on sait tous, que ça ne vaut pas un vrai Michael Bay, même s’il y a du Bruce Willis là dedans.
Le bon conseil : N’y allez pas ! Les histoires que l’on pouvait imaginer plus jeunes, avec les figurines, étaient sans doute beaucoup plus palpitantes !
Les amants passagers – A destination d’un bon bide
Le pitch : Un huit clos dans un avion, où les passagers pensent vivre les dernières heures de leur vie, à la suite de l’annonce un problème technique.
Le réalisateur : Du Pedro (Almodovar) en veux-tu, en veux-tu pas ! Mis à part deux ou trois dialogues savoureux, et deux minutes d’une chorée des stewards plutôt sympathique, le reste n’est pas terrible tant du niveau de la narration que de la mise en scène. Bien qu’il semble y avoir un pilote dans l’avion, on est en droit de se demander : Y a-t-il de l’Almodovar dans ce film?
Le bon conseil : N’y allez-pas ! Les ailes de l’enfer, Air Force One, etc.… des films avec avions, et plus passionnants !
Los salvajes – Baila baila la pampa
Le pitch : Cinq adolescents fuient un centre de redressement, et s’enfoncent un peu plus dans la violence et la pampa…
Le réalisateur : Le nouveau venu Alejandro Fadel, signe un premier film, aussi un petit bijou. La mise en scène est plutôt bonne, et ce Road Movie à travers les grands espaces argentins, marque les mémoires, tant la photographie est de toute beauté. Bon après l’histoire n’est pas des plus folles, mais on sort satisfait.
Le bon conseil : Allez-y ! Ça peut être cool !
Cet article est en accès libre, pour toutes et tous.
Mais sans les dons de ses lecteurs, StreetPress devra s’arrêter.
Je fais un don à partir de 1€Si vous voulez que StreetPress soit encore là l’an prochain, nous avons besoin de votre soutien.
Nous avons, en presque 15 ans, démontré notre utilité. StreetPress se bat pour construire un monde un peu plus juste. Nos articles ont de l’impact. Vous êtes des centaines de milliers à suivre chaque mois notre travail et à partager nos valeurs.
Aujourd’hui nous avons vraiment besoin de vous. Si vous n’êtes pas 6.000 à nous faire un don mensuel ou annuel, nous ne pourrons pas continuer.
Chaque don à partir de 1€ donne droit à une réduction fiscale de 66%. Vous pouvez stopper votre don à tout moment.
Je donne
NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER