Au milieu des années 2010, Isha fait partie de la nouvelle vague des artistes belges à succès. Mais il a aussi connu le temps où le rap n’était pas à la mode à Bruxelles. Une époque où il broyait du noir, se détruisait dans l’alcool et bossait au Samu social aux côtés des plus démunis :
« Le rap m’a sauvé la vie. »
Pour la première fois, Isha montre à l’écran ces traumas qu’il évoque dans sa musique. On croise ses anciens potes du quartier où il magouillait, sa mère qu’il décrit comme « une lionne » et son fils de dix ans avec qui il se construit comme père.
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