1 %(upper) Que veulent-ils financer ? %
Les six prochains épisodes de Ça reste entre nous, une web-série documentaire créée en début 2017. Des personnes asio-descendantes y abordent « leur rapport à l’identité, leurs aspirations et préoccupations, tous aussi divers et variés que leurs origines, leurs parcours et leurs modes de vie ».
2 %(upper) Combien ça coûte ? %
“15.000 euros”:https://www.helloasso.com/associations/ca-reste-entre-nous/collectes/webserie-ca-reste-entre-nous-saison-2018 pour louer du matos, ainsi que payer les cadreurs, les preneurs de son et la post-prod !
3 %(upper) À quoi ça sert ? %
À donner un coup de pouce à un projet qui donne une voix supplémentaire à la communauté asiatique de France et qui déconstruit préjugés et idées reçues.
4 %(upper) Notre contrepartie préférée ? %
Pour un don de 20 euros, on t’invite à assister à une projection.
5 %(upper) La maman du projet ? %
Grace Ly, alias La Petite Banane, blogueuse et réalisatrice, qui explore son identité de Française d’origine chinoise. Pour ce projet, elle travaille avec Irène Nam et Jaewoo Seo, tous les deux professionnels de l’audiovisuel, en plus d’une équipe de bénévoles.
Pour quelles raisons avez-vous créé ce concept ?
Ma première motivation est de pallier le manque de représentation des asiatiques de France sur la scène médiatique. Donc on invite des personnes d’origine asiatique qui, pendant une après-midi, discutent de leurs expériences, de leur regard sur certaines choses, le tout sans se juger. Plus jeune, je ne voyais pas de gens qui me ressemblaient à l’écran et qui s’exprimaient sur des choses qui me touchent, comme les clichés sur les asiatiques. J’ai voulu réaliser cette série pour ça, en donnant la parole aux concernés. [Grace Ly raconte son histoire et son militantisme dans notre article Les Asiatiques de France en ont marre de fermer leur gueule, ndlr.]
Pourquoi l’appeler Ça reste entre nous ?
Ce sont des conversations très intimes. On met autour d’une table des personnes qui ne se connaissent pas et abordent des sujets comme l’éducation de leur(s) enfant(s), la relation avec leurs parents… Et puis ça rappelle aussi l’idée reçue selon laquelle les asiatiques restent entre eux. C’est un pied-de-nez.
Vous invitez qui ?
On recherche des personnes qui ont des profils, des parcours et des idées différentes. Des personnes prêtes à en discuter autour d’une table. Sur chaque thème, on fait des appels à témoin. Au début, c’était des personnes de mon cercle puisqu’on débutait. Pour les prochains épisodes, on fera des appels à témoin publics.
Quels thèmes seront abordés dans les prochains épisodes ?
On envisage d’aborder les thèmes de la reconversion professionnelle; de l’expatriation en Asie; de la relation aux aînés; de la beauté féminine; de la santé mentale; ou encore des religions des asiatiques en France. Mais tout dépendra du budget final après la campagne de financement.
Cet article est en accès libre, pour toutes et tous.
Mais sans les dons de ses lecteurs, StreetPress devra s’arrêter.
Je fais un don à partir de 1€ 💪Si vous voulez que StreetPress soit encore là l’an prochain, nous avons besoin de votre soutien.
Nous avons, en presque 15 ans, démontré notre utilité. StreetPress se bat pour construire un monde un peu plus juste. Nos articles ont de l’impact. Vous êtes des centaines de milliers à suivre chaque mois notre travail et à partager nos valeurs.
Aujourd’hui nous avons vraiment besoin de vous. Si vous n’êtes pas 6.000 à nous faire un don mensuel ou annuel, nous ne pourrons pas continuer.
Chaque don à partir de 1€ donne droit à une réduction fiscale de 66%. Vous pouvez stopper votre don à tout moment.
Je donne
NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER