Dans les affaires de violences policières c’est souvent la parole des citoyens contre celle de l’institution policière. Et à ce jeu, les premiers sont souvent perdants. Pire, ils passent du statut de victime à celui d’accusé. On leur fait porter un délit d’outrage ou encore de rebellion.
Aline Daillère de l’ACAT souligne également l’omerta qui règnerait au sein de la justice. Des juges d’instructions seraient réticents à mettre en cause des policiers de peur qu’ils soient «blacklistés» par l’institution policière.
« La police a des comptes à rendre, des “dérapages” ne doivent pas arriver », Aline Daillère de l’ACAT.
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