Coudray-Montceau, 91 – « Il y a du très gros niveau ce soir », juge Kizo d’un œil expert. Le Grignois est aux manettes de l’événement de ce soir : Le No Joke For King. une compétition de Street Workout, avec pour juré principal Hannibal For King. Dans le monde du Street Workout, cet Américain est une véritable légende et ses vidéos totalisent plusieurs millions de vues.
Dans les 3 disciplines – pompes, tractions et freestyle – s’affrontent le gratin de la scène française et même quelques compétiteurs venus de Belgique et des Pays-Bas. Tonio, de la team All Bar, est l’un des favoris du concours de pompes. StreetPress l’a suivi, caméra à l’épaule.
Hannibal fait le show. / Crédits : Denis Meyer
Avant le début des hostilités, Hannibal fait une petite démo au public. Certains spectateurs sont venus de Belgique juste pour le rencontrer.
Du muscle. / Crédits : Denis Meyer
Hannibal montre le bon geste. / Crédits : Denis Meyer
« La légende du Street Workout » montre le mouvement parfait pour le concours de pompes. Les juges sont intransigeants et de nombreux concurrents finissent éliminés pour 3 fautes techniques, des mains pas assez collées par exemple.
Début du concours de tractions. / Crédits : Denis Meyer
En plein effort. / Crédits : Denis Meyer
Place ensuite au concours de tractions. Comme en boxe, il y a plusieurs catégories en fonction du poids.
Gab'1 a le smile. / Crédits : Denis Meyer
MC Jean Gab’1, le rappeur aux multiples casquettes (auteur, acteur, présentateur télé…) est venu remettre des prix. Il est l’une des stars françaises du Street Workout.
Place au concours de free-style. / Crédits : Denis Meyer
Ils enchaînent les figures. / Crédits : Denis Meyer
L’épreuve de freestyle clôture la compétition. Sur de gros beats trap, les concurrents enchaînent les figures sur les différents agrès.
Kizo prend la pose. / Crédits : Denis Meyer
Une fois la compétition terminée, certains concurrents prennent la pose avec Kizo, l’organisateur de l’événement (en partenariat avec Trec Nutrition et Vitamin-shop).
Validé par le boss. / Crédits : Denis Meyer
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