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    10/07/2015

    Gagne des pass !

    Rock en Seine | Du 28 au 30 août 2015

    Par Elsa Bastien

    Gagne des pass !

    La fin de l’été, c’est toujours un peu douloureux. Mais pour faire passer la pilule – que vous vous serez dorée pendant 2 mois – il y a Rock en Seine. Pour cette 13e édition, le Domaine de Saint-Cloud accueille, entre autres, The Chemical Brothers, The Libertines, Alt-J, The Offspring, Tame Impala, Étienne Daho, Fauve, Interpol, Gramatik, Raphael Saadiq… Il y a les poids lourds, et il y aussi les petits nouveaux. Si vous aimez la scène rock à la française, ne vous levez pas trop tard histoire de ne pas rater Jeanne Added, ou VKNG.

    Ce sera aussi l’occasion de rentrer chez vous avec quelques CDs ou vinyles vendus sur place par des disquaires du coin (comme Born Bad) et des labels, grâce au Village du Disque. Rock toujours, pendant ces 3 jours, vous pourrez aussi jeter un œil à l’exposition Rock’art, soit 40 affiches inédites, inspirées des groupes qui jouent au festival, et créées par des artistes (illustrateurs, bédéastes, sérigraphes…)

    Vous vous y voyez déjà ? Ça tombe bien, StreetPress vous offre 2 pass de 3 jours. Pour jouer, ça se passe sur Facebook, ici. Les gagnants seront tirés au sort et contactés par email.

    Pour nous aider à déchiffrer la programmation, on a posé 3 questions à François Missonnier, le président de Rock en Seine :


    Pour quelqu’un qui n’est jamais allé à Rock en Seine, peux-tu nous citer 3 raisons d’y aller cette année ?
    La première des raisons c’est la programmation. Quelque soit ton goût, tu trouveras forcément quelque chose à te mettre dans les oreilles à Rock En Seine. Que ce soit en électro (Chemical Brothers, Boys Noise), en rock (The Libertines), en Groove (Jungle), en Hip-Hop (Run The Jewels) ou en chanson française (Fauve). Cette année Rock en Seine, c’est un peu bon panorama, diversifiée et cohérent, de tout ce qui se passe en musique actuelle dans le monde. 
    La deuxième des raisons c’est le site. C’est un endroit prodigieux, à dix minutes de la Tour Eiffel, une véritable bulle hors du temps mais dans la ville. Écouter de la musique au milieu des maronniers, des cascades et des statues c’est une expérience unique. 
    La dernière raison c’est qu’on va avoir bien les boules à la rentrée. C’est important de faire la fête avant de retourner bosser. Rock en Seine, c’est quand même trois jours de musique au milieu de 120.000 sourires.
     
    La programmation est plutôt chargée niveau tête d’affiche. Est-ce que tu as des groupes émergents à conseiller ? 
    Beaucoup de groupes de la scène émergente française. Je pense à Marietta qui joue le dimanche à 19 h. Ils sont signés sur Born Bad Records. Il y a aussi Last Train, un groupe de Mulhouse. C’est vraiment une bonne claque rock’n‘roll, je suis sûr qu’on va en entendre parler. En international, il y a aussi Throe & The Shines, un groupe qui mélange Vampire Weekend et Kuduro. C’est mon coup de coeur live.
    Pour des gens qui sont déjà allés à Rock en Seine, pourquoi y retourner cette année ? 
    D’abord parce que ce n’est jamais la même programmation. Puis pour ceux qui ne sont pas déjà venus depuis longtemps, je les invite à venir découvrir la Scène Pression live (3 ans déjà) qui est une vraie réussite. L’an dernier on a également aménagé un espace cascade, plus chill. Enfin la grande nouveauté de cette année, c’est l’orientation des scènes. On a voulu créer un petit théâtre de verdure.
    Bonus – Ta claque de l’an dernier c’était quoi ? 
    St Vincent, je m’attendais vraiment pas à ça. Et puis Queen of The Stone Age en fermeture du festival, ça avait quand même de la gueule.

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