Sur StreetPress, Charife raconte comment elle a fui les coups de son patron saoudien qui l'avait réduite en esclavage. Comme les autres pensionnaires elle craint de « se retrouver sur un banc » si les subventions du CHU ne sont pas prolongées.
« Et après, elles portent plainte ... faut pas exagérer ! », « une femme qui prend des coups, elle le mérite » … Dans bars-PMU parisiens, la journée nationale contre les violences faites aux femmes inspire les poètes.