L'attentat à la gare routière de Jérusalem, non encore revendiqué, marque une escalade de la violence dans la région, avec 1 mort et 30 blessés. Notre reportage photo.
L’attentat Juste en face de la nouvelle gare routière de Jérusalem, un bâtiment moderne, dont l’entrée est contrôlée par des dizaines de vigiles, où vos bagages passent au scanner. Le bus est en Israël le principal moyen de transport : Viser la gare routière de la capitale est le meilleur moyen, pour les organisations terroristes palestiniennes, de signifier au gouvernement Netanyahou dans le bras de fer qui les opposent, qu’elles sont capables de cibler Israël dans ses centres névralgiques.
1 mort et 30 blessés La bombe de plus d’un kilo et déposée dans un sac près d’une cabine téléphonique était télécommandée par téléphone portable ; elle a explosé au passage d’un bus. Les premiers décomptes du Maguen David Adom font état d’1 mort et de 30 blessés, dont 2 graves.
L’explosion a été entendue dans une grande partie de la ville.
Escalade La tension vient donc cet après-midi de monter encore d’un cran entre Israël d’un côté et le Hamas et le Djihad islamique de l’autre : Hier, 8 Palestiniens dont 4 militants d’organisations terroristes mais surtout 4 civils avaient été tués à Gaza dans une riposte aux tirs de roquettes sur Israël du week-end dernier. Benyamin Netanyahou avait exprimé «ses regrets à la suite de mort de civils innocents tués par erreur dans la bande de Gaza par l’armée israélienne». Ce mercredi, le Djihad Islamique a revendiqué de nouveaux tirs de roquettes sur la ville de Beersheva, la principale ville du centre du Sud du pays et à près du port d’Ashdod.
- Reportages /
- international /
- Israël /
- Attentat /
- Jérusalem /
- Jérusalem reportage /
- Hamas /
- Politique /
- A la une /