Un groupe dit "révélation de ces dernières années". Est-ce que ça vaut le coup de sortir de sa couette en plein hiver ? On tente le coup avec les Australiens de Wolfmother.
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Joker and the Thief : le cauchemar des photographes
On est clairement pas les seuls à être sorti malgré le froid : la salle est blindée. La première partie c’est Blacks Angels qui l’assure, pour un sacré spectacle, ça démarre fort. Black Angels c’est une ambiance rock 70’s style Black Rebel Motorcycle Club. Puis Wolfmother arrive avec leurs coupes de cheveux de metalleux. Ca pogote d’entrée, ce soir fallait avoir bu sa Red Bull. Andrew Stockdale, lui n’a pas besoin de ça, l’énergie il l’envoie dans le micro. C’est presque aussi bon que du Black Sabbath, Led Zep ou The Doors. La chanson “Joker and The Thief”, c’est le cauchemar des photographes. Impossible de protéger son appareil du pogo.
Un nouveau line-up
Le groupe a sorti son premier album en 2004. Mais de cette époque, seul Andrew le chanteur a survécu. Le succès du single “Joker and The Thief”, B.O de Schrek et Jackass fait imploser le groupe. Le line-up se stabilise en 2008 avec l’arrivée de Ian Peres à la basse, Aidan Nemeth à la gratte et Dave Acosta aux fûts. 2009 et l’album “Cosmic Eggs” doivent confirmer leur succès. Et prouver que la nouvelle équipe autour de Andrew est aussi capable de sortir de hits planétaires. Rock’n Roll !
Crédits photo: Michela Cuccagna
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