Sur StreetPress les jeunots de Blind Digital Citizens expliquent composer en dessinant « sur leur cahiers des images plus que des notes ». Après « Kings », ils viennent de sortir un EP sur le label Third Side Records.
Nous sommes en studio pendant l’enregistrement de votre EP. Comment ça se passe par rapport à vos sorties précédentes ?
Florent: Ici on a beaucoup plus de matériel alors qu’avant c’était plutôt du bricolage.
Charles: Pour « Kings » (le précédent EP, ndlr) c’était différent, on enregistrait tout en direct sur un 2 pistes et on découpait sur ça. On compose en répétition et en improvisant, on reprend ce qui est bien chez l’un ou chez l’autre pour préparer des prises témoins et enregistrer en studio.
Et sur scène, toujours la même recette ?
Jean: A terme ça se dirigera plus vers des choses mêlant l’image, la vidéo, le son et la lumière.
François: Jouer avec la lumière et l’espace. Le but c’est de créer un espace-temps sur scène.
Ils seront en concert à la Flèche d’Or le 20 juin pour le Inrocks lab et le 12 juillet pour les Balades sonores.