Plus d'un an après le lancement de StreetPress, vous surfez depuis ce matin sur notre V2. Johan Weisz fait un point sur l'avancement du site, où opèrent ces tant craints kamikazes de l'info.
C’est Sacha Hartgers, un photographe de guerre qui a roulé sa bosse aux 4 coins de la planète, qui a lâché cette phrase en rendant visite à StreetPress la semaine dernière : « Chez vous, ça me fait penser à un local de terroristes ». Hein ? « Oui, tous les reporters bossent mais personne ne sait qui fait quoi. Et votre rédac’ est un beau bordel ».
news fraîches et reportages au long cours Depuis que StreetPress a ouvert en décembre 2009 on a publié beaucoup de reportages sur des questions de société, sur des sujets sérieux, des bonnes enquêtes parfois politiques et parfois… euh comment dire… essentielles. Sans zapper l’international, les médias ou le sport. C’est vrai que demander la même journée s’il faut supprimer les apéros géants de la buvette de l’Assemblée Nationale (en réaction à la polémique anti apéro-facebook), interviewer Dorcel fils à Cannes et couvrir un concert de Midgnight Juggernauts; ça peut effectivement ressembler à un joyeux bordel. Mais c’est comme ça, StreetPress.
Illuminés… Et ça n’est pas complètement faux que StreetPress compte quelques illuminés : D’abord Alice, qui après avoir survécu 6 mois à l’édition en chef de StreetPress nous manquera (Alice nous quitte aujourd’hui pour rejoindre une célèbre agence de presse anglo-saxonne, où on lui souhaite le plus grand succès, mais le vide sera dur à combler).
Ensuite, Robin et Jack, chacun à la barre (de fer) de la rédaction en chef, qui pilotent les sujets que vous lisez chaque matin (où chaque nuit pour les plus insomniaques d’entre vous). Et puis, Benjamin, qui a en charge les formations StreetPress – des formations gratuites pour les participants qui rejoignent ensuite le rang des reporters du site. Un big up à Sam qui a enchaîné les nuits blanches afin que la nouvelle version du site soit en ligne aujourd’hui et à Jérémie et ses crayons qui l’a dessinée. Un grand merci aussi à Benjamin aka Dataman pour les conseils qu’il nous prodigue, à Cécilia, Patrick, Lior pour le soutien essentiel qu’ils apportent à cette aventure.
… ou kamikazes Mais les vrais fous, ce sont les 180 reporters qui ont participé à la réalisation de plus de 1.300 articles l’an dernier. Je pourrai écrire des lignes et des lignes pour les remercier, tant ils sont tout. C’est pour vous que nous nous levons le matin. Parler avec vous de vos projets de reportages, échanger sans fin sur le bon angle, vous donner un coup de main quand vous en avez besoin, vous éditer et surtout, chers kamikazes de l’info… vous lire.
Belle année 2011,
Johan Weisz
Une maquette plus travaillée, avec une mise en page magazine sur 2 colonnes
Un menu fixe toujours visible même lorsqu’on scrolle en bas de la page, pour garder toujours disponibles les fonctionnalités importantes
Une meilleure mise en avant des contenus StreetPress (à relire sur StreetPress, le dossier à la Une) et des reporters
Une intégration avancée à Facebook (login facebook, commentaires cross-postés, articles les plus partagés). L’info en 2011 sera social ou ne sera pas.
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